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 Suite à l’émission de M6 « zone interdite » du dimanche 31 janvier 2011, nous déplorons son caractère particulièrement partial, incomplet (tous les acteurs et notamment les associations d’usagers de l’ADPF et du COPRA n’ont pas été consultés) et politiquement orienté.

La commune voisine de l’Aiguillon sur Mer a été complètement passée sous silence.

Aussi, si vous souhaitez apporter vos commentaires
sur ce reportage, vous pouvez le faire sur le forum de M6 en suivant ce lien
:

http://forum.m6.fr/actu-infos/zone-interdite/xynthia-ce-qui-n-a-pas-ete-dit-id1255036-page1.html

Résidants de la Pointe de l’Aiguillon faites entendre votre voix ! Pour être efficace dans notre lutte, pour faire entendre nos voix il faut aussi voter ! 
Fluctuat nec mergitur

 A toutes fins utiles vous trouverez le formulaire d’inscription sur les listes électorales à télécharger :
formulaire_cerfa_francais

Cliquez ici pour lire ou télécharger les « propositions pour un plan de prévention des submersions marines et des crues rapides » de la direction générale de la prévention des risques : Plan_Digues_synopsis

En page 26, il est indiqué dans la légende « Les zones en rouge indiquent les habitations (Direction de la sécurité civile) ».

En y regardant de plus près, vous apercevez qu’aucune maison ne figure à La Pointe. Ces maisons seraient-elles déjà considérées comme « rasées » ?

Et pourtant, il y a un proverbe qui dit : « il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué »…

En page 53, je vous cite un paragraphe tel quel ; à vous de vous faire votre opinion sur son contenu : « A titre d’illustration, selon M. Jean-Jacques Brot, préfet de Vendée,150 maisons ont été illégalement construites dans le secteur de la Pointe à L’Aiguillon-sur-Mer. Ces maisons, qui n’étaient initialement que des cabanes, ont été progressivement consolidées par leurs propriétaires, parfois ignorants du caractère illicite de leur présence : simples bicoques dans les années 1940, elles sont ainsi devenues des habitations pérennes. Lors du déplacement de votre mission en Charente-Maritime et en Vendée, le maire de L’Aiguillon-sur-Mer a admis le caractère dangereux de certaines de ces maisons, qui avaient été bâties au mépris des risques naturels et des règles d’urbanisme les plus élémentaires, et qui ont été dévastées lors du passage de la tempêteXynthia. »

Donc, à en croire cet extrait, il n’y a qu’à La Pointe de l’Aiguillon sur Mer qu’il y a eu des constructions bâties illégalement en front de mer et au final, elles ont été dévastées par la fureur des eaux !

Par conséquent, les autres villes et villages de nos belles côtes qui se sont bétonnées illégalement au fils des années n’ont qu’à bien se tenir !

Enfin, en page 227, vous trouverez un tableau émanant de « France Domaine », un organisme qui est, entre autres, chargé de l’acquisition, la gestion et la  et la cession des biens domaniaux pour le compte de l’Etat.

Il retrace une 1ère évaluation du coût de l’acquisition des maisons d’habitation suite à la tempête.